15.11 — 07.12.24
Vernissage le 15.11.24 à 18h dans le cadre du Week-end des Bains

16.11.24, 15h45
Talk avec les artistes Nacoca KO, Kelly DE GEER, Ana D & Noora K
L’IA (intelligence artificielle) dans l’art

17.11.24, 10h – 18h
Flash Day Tattoo avec la tatoueuse Sliwa ANTAKI dans le cadre de l’exposition Décors, des Corps

Exposition en collaboration avec S Agence

L’exposition « Décors, Des corps » présente les œuvres de Pietrina Checcacci, Ana D et Noora K, Kelly de Geer, Fernando de la Rocque et Julien Spiewak. Artistes qui parcourent la relation existant entre le motif, l’ornement, le décor et le corps humain, par le biais de multiples médias tels que : la sculpture, la broderie, la photographie et l’intelligence artificielle.

L’oeuvre de Pietrina Checcacci nous fait plonger dans un univers féminin. L’artiste à découvert Spinoza et son « esthétique » dans sa jeunesse, et a partir de ce moment elle a choisi la force du féminin comme thématique permanente et unique de son parcours dans l’art.

Le duo Ana D & Noora K explore le mouvement capturé par la photographie pour énoncer leur vision cyclique de la vie. Comme tout est mouvement tout le temps, les artistes figent un instant afin de densifier, par l’abstraction, notre vision du monde.

Kelly de Geer est une artiste-photographe qui a découvert le potentiel remarquable de l’intelligence artificielle comme puissant nouvel outil. Cette innovation lui a permis de rendre vivantes des idées semblant impossibles au sein de ses images. Au lieu de prendre comme point de départ la photographie, l’exploration de l’IA élargit ses horizons créatifs, poussant les frontières de l’expression artistique et enrichissant son processus photographique de manières excitantes et inattendues.

Fernando de la Rocque se sert de nombreux médiums artistiques afin de créer un art authentiquement brésilien. Son vocabulaire pictural intègre des figures humaines tant joyeuses que colorées et fait aussi référence au plaisir par l’intermédiaire de scènes sensuelles. Son art traite d’un travail basé sur le corps humain ainsi que sa représentation d’un point de vue spirituel.

Julien Spiewak remet en question les liens entre l’image photographique et le corps humain en tant qu’expression artistique. Il réalise, depuis 2005, la série Corps de style, dans des intérieurs de musées et des collections privées, en France et à l’étranger. L’inventaire qu’il dresse est précis, à un détail près, une partie du corps qu’il immisce dans ses décors. L’étrange confrontation du meuble d’époque à la nudité de la peau. Le travail de Julien Spiewak a rejoint des collections privées et publiques, dont la collection Arario, le Musée de la Photographie à Seoul, le Musée d’Art de Rio (MAR), entre autres.